Des peintures abstraites de l'une aux peintures figuratives de l'autre, pour Françoise Maestripieri, c'est une passion, qu'elle a longtemps et encore aujourd'hui transmise sous diverses formes : en formation ou en atelier, Le 96 du numéro de sa rue Chaussas à Toulouse.
Son parcours de 40 ans part du figuratif vers l'abstraction ou la semi-abstraction.
Elle peint à la palette et le geste est ample.
À 16 ans, elle dessinait «comme un Modigliani» selon ses professeurs et désormais c'est la nature qui l'inspire «plus belle que tout».
Enseignante, elle avait réussi à relier art et langues au sein d'un même cours et ce fut sa «patte» dans la profession.
«Toutes les personnes créatives ont de la chance, cela donne une dimension à la vie, mais il faut aussi partager et je l'ai fait toute ma vie» confie-t-elle. Voici son ressenti après avoir vecu une periode difficile en 2020 avec la pandémie de Covid, elle témoignent du cycle de la vie qui recommence dans ce documentaire avec le début du printemps"
"Nous avons besoin de l'art, et je pense qu'il peut soulager quand on est stressé. D'où vient le stress? Du fait de s'inquiéter du futur. L'art se vit au présent." dit le peintre britannique David Hockney.
Documentaire et Texte : Louis Nougadère.